À force de consommer sans réfléchir à la façon de rapporter les produits ; après des années à partir faire le marché quasi les mains dans les poches (au mieux avec un sac trop petit) ; ou à se rendre au supermarché sans rien une fois sur deux, et en se donnant bonne conscience en payant un gros sac en plastique bien moche : la partie du cerveau en charge du bon sens est quand même bien endommagée.
Les premières courses « sans déchet » ne sont pas convaincantes à 100 %. On est pas peu fière des progrès constatés, mais il reste quelques trucs à améliorer.
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